Editeur : Rockstar Développeur : Rockstar Date de sortie : 29 octobre 2010 Supports : PC / PS3 / Xbox 360 Genre : Action Norme PEGI 18+ 2 novembre  2010 - Geek4Life Grand Theft Auto IV & Episodes From Liberty City Avec GTA IV “Edition Intégrale”, Rockstar sort l'artillerie lourde ! Disponible sur PC, Playstation3 et Xbox 360, ce nouvel épisode nous plonge dans les rues de Liberty City, pour un condensé d’action mémorable... GTA IV Grand Theft Auto IV nous émerveille par la modélisation d'un New York (bis) débordant de vie. Statue de la Liberté, Central Park, trafic automobile, métro, piétons, hélicoptère... Liberty City est sans cesse en mouvement. Et le réalisme accentué par la gestion de la météo qui se fait en temps réel. Si le résultat visuel est impressionnant, il n'est pas parfait. On regrette, entre autres, la présence d'aliasing et quelques effets visuels peu convaincants. Malgré cela, le jeu est fluide et l'immersion s'opère sans mal. Une fois l'aspect esthétique digéré, vient le tour du scénario. De toute évidence, il a été très travaillé par Rockstar. Nous faisons connaissance avec Nico Bellic et son cousin, tous deux immigrés d'Europe de l'Est. Nico (le personnage principal) débarque à Liberty City (un pseudo New York) pour faire fortune. Excité par les mails de son cousin qui lui décrivait une vie faste et facile, il va rapidement déchanter. La réalité est beaucoup plus sombre, vu que la grande villa de son cousin est en réalité un appartement miteux... Comme toujours, on retrouve un condensé d'action, de courses poursuites et des ambiances crapoteuses dont Rockstar a le secret. Pour agrémenter l'aventure, vous devrez nouer des relations avec les divers personnages (centralisés via votre téléphone portable). Et des mini-jeux renforceront la trame scénaristique (bowling, fléchettes, jeux vidéo, restaurants, cybercafé, club de strip-tease, etc). Le tout avec un ton mature clairement adressé aux plus de dix-huit ans. Avec une aventure solo d'une vingtaine d'heures et de nombreux modes multijoueurs, GTA IV s'est imposé comme le jeu de l'année 2008. Aujourd'hui encore, il fait partie des indispensables. Donc si vous êtes majeur, nous vous recommandons vivement d'investir dans ces petits bijoux vidéo ludiques. « Le jeu de l'année 2008 » Résolument outrancier et provocateur, GTA s'est imposé au fil des ans au sommet des jeux vidéo les plus populaires. D'abord en 2D, la série est passée en 2002 à la 3D temps réel, avec le célèbre « GTA III » Disponible sur PC, Playsation2 et XBox. Cette évolution technique a permis d'offrir aux joueurs la modélisation d'une vaste ville, en guise de terrain de jeu. Très apprécié, GTA III a été décliné par la suite, en deux autres jeux : « GTA Vice City » et « GTA San Andreas ». Aujourd'hui, à l'heure de la « next gen' », le studio Rockstar franchit un nouveau cap. Celui de la haute définition. Rappelons que cette révolution s'est effectuée en deux temps. Tout d'abord, via la commercialisation « du jeu événement 2008 » sur Playstation3 et Xbox 360. Suivi de la version PC, quelques mois plus tard. Malheureusement, cette dernière manque sérieusement d'optimisation en version 1.0. Résultat : elle n'a pas satisfait les fans, déçus de se retrouver avec un « nouveau Crysis ». Ce qui se comprend, car  le jeu exige un PC haut de gamme. Toutefois, une fois patché et bien équipé, le résultat s’avère légèrement plus beau que sur consoles. A la question récurrente « quelle version choisir ? », nous serions tentés de vous répondre qu'aucune n'est parfaite. En effet, testée sur tous les supports, nous avons noté que la version PS3 affiche davantage d'aliasing que sur Xbox 360. En revanche, la mouture Xbox 360 pêche par la présence de clippings. Enfin, pour les joueurs sur PC, nous avons constaté qu'avec un AMD 4600+ / 4 go de DDR2 et une Ge- Force 9600 GT, le jeu tourne, mais avec la majorité des options au minimum. Pour profiter pleinement de GTA IV, optez davantage pour un AMD 5200+ / 4 go de DDR2 et une Ge-Force 9800GTX (ou équivalent chez ATI). Enfin pour les joueurs sur PC portable, nous vous recommandons d'utiliser l'équivalent de la « Nvidia Ge- Force 240m GT » (1 Go de DDR). Avec cet équipement, le jeu tourne parfaitement couplé à un processeur de type Intel T6600. Bref, aussi bien sur consoles, que sur PC, GTA IV est un indispensable si vous aimez les jeux d'action ou plus précisément la série culte de Rockstar. Episodes From Liberty City L'exclusivité Xbox 360 - payée à prix d'or par Microsoft - est terminée. Depuis le 16 avril 2010, les possesseurs de PC et de Playstation3 peuvent s'offrir, eux aussi, le pack « Grand Theft Auto : Episodes From Liberty City ». Pour rappel, celui-ci contient les deux aventures additionnelles (stand-alone) de Grand Theft Auto IV,  disponibles depuis quelques mois sur la console HD de Microsoft. Réalisé par Rockstar, « The Lost and Damned » et « The Ballad of The Gay Tony » nous immergent – une nouvelle fois - à Liberty City, ville qui ressemble à s'y méprendre à New York. Et ce, dans la peau de deux nouveaux protagonistes : Johnny Klebitz (un motard, membre d'un gang) et Luis Lopez, le partenaire de l'homme d'affaires Tony Prince. En résultent deux nouvelles visions de l'univers de Grand Theft Auto. Mais, surtout, un concentré d'action ! Avec ces deux épisodes, difficile de s'ennuyer. Entre les péripéties de Johnny et sa bande de motards, « The Lost and Damned » tranche radicalement avec l'aventure de Niko Bellic. Rockstar s'est manifestement focalisé sur les motos et les fusillades contre la police et les gangs adverses. Ce qui renouvelle efficacement le gameplay. Des ambiances crapoteuses Fait certain : l'atmosphère « bad boy » est ici parfaitement cultivée. Les fans de heavy metal apprécieront l'ambiance musicale des « bikers ». Autre aspect appréciable de ce supplément : l'ajout de nouvelles armes et une prise en main des deux roues simplifiée. Résultat : Johnny nous apparaît aussitôt plus à l'aise sur ces engins que l'ami Niko Bellic ! Pour le coup, « The Lost and Damned » renouvèle l'expérience du scénario originel. Autre jeu, autre ambiance. « The Ballad of The Gay Tony » nous immerge, dans le monde de la nuit. Dans la peau de Luis Lopez, il vous revient d'aider votre associé, « Gay Tony », à se sortir d'un mauvais pas... Cette seconde aventure est une franche réussite. Au point de rivaliser avec l'excellent scénario de GTA IV. Comme toujours, attendez-vous à des poussées d'adrénaline lors des fusillades épiques dans les boîtes de nuits ou à l'occasion de missions – très - visuelles, à bord de véhicules, dans un Liberty City à feu et à sang. La psychologie des divers protagonistes a été travaillée et l'on est émerveillé par la mise en scène. Avec ses courses-poursuites en voiture, ses attaques aériennes à bord d'hélicoptère de combat ou ses missions de sabotage (à l'explosif!), « The Ballad of The Gay Tony » est aussi mémorable que Vice City à l'époque de GTA III. Du très bon ! Côté gameplay, cet opus nous livre quelques nouveautés sympathiques avec, entre autres, la présence de charges de C4 adhésives (idéal pour faire de beaux feux d'artifices !) et l'arrivée de mini-jeux inédits. Lesquels vous permettront, notamment, d'assurer la gestion d'une boîte de nuit ou de danser via des Quick Time Events (QTE). Comme à l'époque de Grand Theft Auto IV, « Episodes From Liberty City » nous émerveille par la modélisation d'un New-York (bis) débordant de vie. Statue de la Liberté, Central Park, trafic auto, métro, piétons, hélicoptère... Liberty City est sans cesse en mouvement. Le réalisme est accentué par la gestion de la météo en temps réel. Si le résultat visuel est impressionnant, il n'est pas parfait. On regrette, notamment, la présence d'aliasing et quelques effets visuels peu convaincants. Malgré tout, le jeu est fluide et l'immersion s'opère sans mal. Comme toujours, on retrouve un condensé d'action dans des ambiances crapoteuses dont Rockstar a le secret. Pour agrémenter l'aventure, vous devrez nouer des relations avec divers personnages (à contacter via votre téléphone portable). Quant aux mini-jeux (bowling, fléchettes, jeux vidéo, restaurants, cybercafé, club de strip-tease, etc), ils renforcent la trame scénaristique. Le tout avec un ton mature qui s'adresse clairement aux plus de dix-huit ans. Parlons technique... Précisons à tous ceux qui n'ont toujours pas craqué pour « Grand Theft Auto IV », que celui-ci n'est pas nécessaire pour se plonger dans ces deux nouvelles aventures. En revanche, la mouture PC, exige une connexion Internet. Sans quoi vous ne pourrez même pas avoir accès aux modes solos. C'est à prendre en compte avant l'achat. Au cours de notre test, il est apparu que la version Xbox 360 affiche une bonne dose de clippings. Par ailleurs, comme pour GTA IV, la version Playstation3 présente davantage d'aliasing que sur la console de Microsoft. En revanche, elle limite quelque peu les clippings. Quant à la mouture PC, elle est légèrement moins gourmande que « Grand Theft Auto IV » (V. 1.0). Mieux vaut disposer d'une configuration musclée (processeur multi-coeurs/ carte graphique avec 512 ou 1 Go de DDR) pour être en mesure d'afficher toutes les options graphiques avec une distance de vue correcte. Bon à savoir : à l'heure du lancement, la version PC de « Grand Theft Auto : Episodes From Liberty City » ne dispose pas d'option d'antialiasing. Plutôt décevant, quand ont sait que GTA IV l'intègre déjà. Toutefois, il est quasi certain que Rockstar le proposera lors de la diffusion de ses prochains patchs.                       Geek4Life.fr C'est beau, dense et fluide. Toutefois, à l'heure de « Crysis » (EA), le jeu de Rockstar n'est pas aussi spectaculaire. L'aliasing est tenace et certains effets manquent de précision. Mais en regard de la taille de la ville et de la densité du trafic, on pardonne rapidement ces défauts. De son côté, « The Lost and Damned » et « The Ballad of The Gay Tony » ne révolutionnent pas les graphiques de GTA IV, cependant, malgré le poids des années, Rockstar parvient à nous émerveiller par la richesse des ambiances et un univers débordant de vie. Du grand art ! GTA pur-jus, ce quantième opus reprend les ficelles des précédentes moutures et y ajoute de nombreuses activités annexes, ainsi qu'un scénario captivant. Un excellent cru ! Bon aussi bien en solo, qu'en multijoueur, GTA IV fait figure d'incontournable pour tous les amateurs d'action.« Grand Theft Auto : Episodes From Liberty City » séduira lui, aussi bien les fans de GTA que les néophytes. Les deux scénarios renouvellent efficacement le contenu de GTA IV et il est très appréciable de découvrir de nouvelles armes, véhicules et activités inédites. Rockstar nous offre une bande-son grandiose via la présence de stations de radios thématiques (où l'on retrouve, entre autres, Queen et Bob Marley). Les voix (uniquement en VO) sont parfaitement interprétées L'acteur qui interprète Niko est excellent ! Et les bruitages ultra- immersifs. Pas de mauvaise surprise à signaler...  Avec une campagne qui se boucle en une vingtaine d'heures, GTA IV offre une durée de vie conséquente. S'ajoute à cela un mode multijoueurs, aussi bon que complet. Bref, difficile de regretter son achat. De son côté, Episodes From Liberty City offre plusieurs dizaines d'heures de jeu en solo, d'excellents modes multijoueurs et une rejouablité quasi assurée en regard de la qualité des scénarios. L’Editon Intégrale de GTA IV nous arrive à point nommé ! À quelques semaines de Noël, Rockstar commercialise sur PC, Playstation3 et Xbox 360 l’illustre Grand Theft Auto IV + les suppléments “The Lost and Damned” & “The Ballad of The Gay Tony”. Les fans de GTA y trouveront un condensé d'action et un dépaysement certain. Quant aux néophytes (de plus de 18 ans), ce sera l'occasion de se mettre à la page. Un indispensable si vous n'avez pas déjà craqué !    GTA IV est un indispensable si vous aimez les jeux d'action                  Geek4Life Pourquoi faut-il l’acheter ? + Le 3 en 1 + Le rapport qualité/prix + Le gameplay + La durée de vie

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